Walter Bernstein Rookie
Nombre de messages : 25 Date d'inscription : 05/11/2011
| | Interview avec Bernstein | |
Le terme success story est employé pour dénoter la réussite professionnelle d’un individu ou d’une entreprise. Sur Internet, les success-stories sont nombreuses, telles celle de Google, créée par 2 étudiants américains et rapidement devenu le moteur de recherche de référence sur Internet. Dans le monde du sport divertissement, un homme à réussis la ou beaucoup ont échoués, Walter Bernstein. Du haut de ses 55 ans, il à vécu une vie hors du communs. Grosses bagnoles, femmes magnifiques (bonnes), meilleures cigares, ... Autant dire qu'il à tout pour lui. En exclusivité, nous avons réussis à l'interviewer (après que Walter ai réclamé les mensurations, et deux photos de la journaliste), et voila ce que nous avons pu récupérer en exclusivité. Sur son premier run raté à la WWA. - Citation :
- Ahaha, écoute ma jolie, la vie est faite d'opportunité et de chance. Quand j'ai r'joins cette foutue fédération, y avait beaucoup trop de branleur. T'vois, moi j'suis un gars dans le mouvement, j'ai l'feeling. Mais quand y'à trop d'monde, trop d'attentes, Big Walt perd patience. Alors j'me suis cassé, et j'ai continué à suivre mon train de vie de star. A quoi bon s'emmerder à se faire une place, alors qu'on est d'ja au top ?
Sur ce qu'il pense du roster actuel. - Citation :
- (ndlr, il soupire). La première fois que je suis venu, y avait ces gars, ces p'tites frappes, ces rigolos. Maintenant que j'suis d'retour, ils sont toujours la, avec d'la nouvelle racaille. M'souviens du AAA, y s'appelait d'jal'excellence alors qu'il végétait dans le milieu de carte sans avoir son mot à dire. On m'à dit qu'il était d'venu champ' le bougre, comme quoi, même un manchot à une chance ici. M'souviens aussi du 'renoi, Bob. Bon Dieu qu'il à fait une chute vertigineuse c'lui la. J'suis presque triste pour lui. Malheureusement, j'peux pas verser d'larme à cause de ma putain de paralysie faciale. Et l'champion actuel, une saloperie d'insecte. Wally paie des fortunes pour s'en débarrasser dans ses villas, et vous, vous l'laissé faire et monter dans la carte. Félicitation bande de rednecks.
Après, t'as un ramassis de connard, mais on s'en branle d'eux. Sur les échanges et l'animosité entre lui et Grossman. - Citation :
- Grossman, comment dire. C'tun p'tit gros obsédé. C'est l'genre de type à s'allier avec toi et te faire un coup de pute pour s'attirer les spots. Il est quasiment arrivé l'année de mon premier run. Quand j'lai regarder dans les yeux, j'ai vu un gosse. Effrayé, perdu, triste, au milieu de tout les autres déchets qui n'ont pas t'nus le coup. C'est évident que cette ignominie se cache sous une carapace. Pauvre producteur de s'conde zone, entouré de chicks qui sont la que pour le fric. Grossman à toujours été jaloux d'moi. Il sait qu'il n'à jamais pu rivaliser avec moi, c'tait une saloperie d'envieux. Combien de fois j'lui ai pas piqué ses actrices à des fins non commerciales. J'adorerais lui r'faire le portrait à la façon Bernstein, sur le ring.
Sur sa motivation de retour. - Citation :
- J'tout fait dans ma vie, maintenant, j'me lance ce dernier défis. La WWA m'à contacter à de nombreuses reprises lorsqu'ils étaient au plus bas. J'ai toujours répondu défavorablement. Soit j'étais saoul comme un porc, soit en pleine partie de jambe en l'air. Maintenant, c'est différent. Je suis ici pour plusieurs raisons, mes motivations sont nombreuses, et vous les découvrirez lors des prochains épisodes. J'peux pas m'dévoiler comme ça, c'est tellement big, que Big Walt va vous sidérer !
Un mot pour la fin ? - Citation :
- Poupée, viens avec Wally, on va s'faire un resto, et puis...
Extrait de l'interview en présence de Walter Bernstein. | |
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Ven 11 Nov - 18:39 par Beetle