(2 ans plus tôt)

Un homme sort dans cette tour qui l'avait logé pendant de nombreuses années. Il est encore en sueur suite à son dernier combat... et sa défaite.

Il monte dans sa voiture et regarde par la fenêtre son passé s'éloignant de plus en plus. Il boit un coup de son doux breuvage et allume une cigarette . Il demande au chauffeur .

-Comment t'appelles-tu ?

Le chauffeur: Ah... euh moi c'est Denys.

-J'ai connu un Denys, il était dans mon équipage autrefois.

Le silence règne à nouveau dans la voiture

-Tu sais où on va ?

Denys: oui, je sais.

(à suivre...)

Baracouda entre dans sa loge, retrouvant enfin son chez sois qu'il avait laissé trop longtemps. Sa loge est complètement vide . Il appelle donc les deux déménageurs qui transportent ses affaires dans sa chambre. Les deux hommes s'exécutent, posent les nombreux cartons et partent en fermant la porte. Baracouda est seul et décide donc de déballer enfin ses cartons. Il accroche des photos et range son attirail. Cela fait déjà une semaine que le pirate est revenu à la WWA. Mais il était logé dans l'hôtel d'en face, en attendant sa loge avec impatience. Mais le chef de cet hôtel l'a renvoyé pour cause de dégâts trop important. En effet, le pirate avait saccagé sa suite après sa défaite, mécontent de lui et surtout dépité d'avoir perdu contre une femme.

Baracouda: Je dois me racheter, ça va, mes prochains adversaires sont minables et incompétents .

À ce moment, Ed Bundy frappe à la porte.

ENTREZ !, cria Baracouda

Ed Bundy: Bonjour, nous venons vous interviewer sur votre défaite et...

Baracouda (sort son épée): De un, je n'aime pas ta gueule, tu souris trop et tu as une tête à claques, de deux, je n'ai appelé personne, alors ne viens pas, de trois, casse-toi avant que je te transperce .

Ed sort avec son caméraman, pas très content de ne pouvoir faire son travail.

Baracouda: Quelles bandes de chiure !

Baracouda finit sa bouteille de rhum, il est triste et nostalgique. Il regarde les photos qu'il avait accrochées au mur. On le voit, lui avec sa ceinture Lynx . Il y a aussi un article de journal marqué dessus « Meurtre au port... » . Quelqu'un frappe à la porte .

-Dégagez,hurle Baracouda

On voit Miss Kendra, avec le même caméraman qu'avant, il essaye de retenir la journaliste. Baracouda semble en colère et se lève de son fauteuil.

Baracouda: J'ai dit dégagez …

Miss Kendra: Je viens vous interviewer sur votre défaite et ...

Baracouda: Vous êtes sourde ou...

Miss Kendra: ... Votre prochain match, comment vous sentez vous pour ...

Baracouda: Arrêtez de parler.

Baracouda s'assoit, à bout de force.

Miss Kendra: Allez-vous répondre à mes questions ?

Baracouda : Les femmes me font chier... Vous voulez entendre quoi ?! Que je vais démolir ces trois minables adversaires, ce sera le cas !

Miss Kendra: Quelques mots sur vos adversaires ? Omar par exemple .

Baracouda (sourit): Vous savez, mon oncle était un grand navigateur, comme moi, mais lui il avait une cause à défendre, en effet, il faisait du commerce d'esclaves. Je suis nostalgique de cette époque où on pouvait sans risquer de procès envoyer dans des mines des gens comme Omar pour améliorer la vie des gens normaux !

Miss Kendra regarde Baracouda avec de grands yeux ronds, se retourne vers son caméraman il a la même tête qu'elle.

Miss Kendra: Je pense que ce sera ...

Baracouda: Vous vouliez mes réponses, les voilà et je n'ai pas fini ! Je peux aussi vous parlez du prétentieux James Hawkrider, qui ne joue pas deux matchs et il se sent rejeté. Mais, peut-être il devrait penser qu'il est juste mauvais et que la direction ne veut pas d'un mec mauvais comme ça ; c'est comme si un poissonnier vendait du poisson pourri. Maintenant vous voulez qui Kyle Blackmoore peut être ?!.

Misse Kendra: On a ce qu'il faut merci.

Miss Kendra sort de la loge suivie du caméraman. Baracouda et seul, sur son fauteuil et regarde ses photos, triste et nostalgique.

Note de l'auteur: Merci de bien lire dans la partie commentaires mon commentaire justement !

(2 ans plus tôt)

-Tu sais où on va ?

Denys: oui, je sais.

La voiture s'arrête à un port, l'homme qui s'avère être Baracouda donne 10 euros à Denys.
Baracouda: Bon vent...

Baracouda marche sur les rives du port, de nombreux bateaux y sont amarrés, il fait déjà nuit. Le pirate avance jusqu'à une vielle taverne «  l'écrevisse dorée » . Baracouda entre.

-Un cognac !

Le serveur s'exécute et va parler avec d'autres clients. Baracouda est seul dans un coin du bar, buvant son breuvage .

(à suivre...)

Baracouda marche d'un pas lourd dans les couloirs de la WWA . Il cogite surement sur sa défaite. Il se met à hurler, ce qui dérange fortement les techniciens .

Baracouda: Ce minable de Kyle Blackmoore m'a... m'a … (il ne trouve pas ses mots) . Et il a fait le tombé sur moi en plus, pourquoi ?! Qu'est-ce qui m'arrive ?! Je veux gagner, je le mérite !

Baracouda va saisir par le col un technicien et le secoue dans tous les sens .

Baracouda: Pourquoi ?!! Je vous parle, répondez-moi !

Technicien: Euhhhh... vous étiez trop soûl ?

Le pirate le regarde avec de grands yeux ronds, il semble prêt à étrangler le pauvre homme .

Baracouda: Comment osez-vous m'offenser de la sorte ? Je vais te broyer les os et...

Technicien 2: Il a … il a raison

Baracouda lâche le premier technicien et s'approche dangereusement du deuxième. Il fait une tête qui fait peut à voir.

Baracouda: Vous avez raison.

Le deuxième technicien souffle un bon coup. Baracouda se met assis et lance son breuvage le plus loin possible...

Baracouda: Je suis un vieil alcoolo, qui ne sait plus rien faire de ses dix doigts

Le premier technicien s'approche pour réconforter le pirate triste...

Baracouda: vous faites quoi ?

Technicien: Ben...

Baracouda: Dégagez, foutez le camp, retourner faire votre travail !

Le pirate sort son arme blanche, l'agitant dans tous les sens devant les hommes terrifiés. D'ailleurs ils partent de la pièce laissant seul Baracouda. L'homme solitaire rampe vers sa bouteille éclatée en plusieurs morceaux et essaye de récolter le breuvage sur le sol.

Baracouda: Quel gâchis, pourquoi j'ai écouté ce poulpe incompétent ?!

Baracouda se lève et sort de la pièce, il se dirige vers sa loge, en titubant, d'ailleurs il manque de renverser Ed, qui marchait dans le sens contraire du pirate.

Baracouda: Faites gaffe !

Il ouvre la porte de sa loge et va chercher dans un placard une bouteille de rhum. Il boit une longue gorgée avant de s'asseoir dans son fauteuil, regardant toujours les fameuses photos .

Baracouda: Deux défaites... si mon père voyait ça, il se retournerait dans sa tombe sous-marine. Il faut que je me réveille, que je revienne et que j'éblouisse ces minables méduses qui se croient catcheur. C'est le réveil d'un requin affamé qui sent l'odeur du sang tout autour de lui !

Baracouda boit un coup de son rhum et regarde toujours aussi triste et toujours autant nostalgique les photos devant lui.

Baracouda: Pffff... moi arrêter le rhum.... JAMAIS !

(2 ans plus tôt)

-Un cognac !

Le serveur s'exécute et va parler avec d'autres clients. Baracouda est seul dans un coin du bar, buvant son breuvage . Un homme arrive devant lui et s'assoit à sa table.

Baracouda: Hum... c'est pour quoi ?

Homme: Avez-vous gâché votre vie ?

Baracouda: Pourquoi cette question ?

Homme: Répond !

Baracouda regarde l'homme, celui-ci a une capuche et un manteau noire.

Homme: Répond Baracouda !

à suivre...

Baracouda est toujours sur son fauteuil, la main bandé à cause des éclats de sa bouteille quand celle ci a explosée sur le crâne de Omar.

Baracouda: Je n'aurai pas du faire ça, ma bouteille ne le méritait pas, par contre ce pseudo guerrier … ça lui remettra les idées en place ! On n'emmerde pas un pirate sans conséquences ! Je... je

Il boit un coup, sa bouteille est complètement vide, il l'a pose sur la table, se lève et marche puis s'arrête au milieu de sa loge, il ne sait quoi faire. « Peut être devrais-je m'entrainer » pensa t-il

Baracouda: Pas besoin de ça, je suis bien assez fort, je n'ai pas traversé chaque océans pour m'entrainer après ! Je suis déjà assez fort et surtout pourquoi m'entrainer, le seul match que j'aurais sera contre un nègre ! Il sera mon poutchinball, là se sera un entrainement !

Baracouda sort de sa loge pour allez dans le couloir, il est désert... la seule chose qu'il voit, c'est des projecteurs, une table avec une cafetière dessus et un perroquet... un perroquet ? Le pirate ci reprend à deux fois avant de voir que ce n'est qu'une veste accroché à un porte manteau.

Baracouda : Pauvre monsieur Coco …. Omar, je veux un match contre toi ! Je veux venger ma bouteille de rhum ! Il faut que je gagne pour faire honneur à mon nom, MON NOM EST BARACOUDA, capitaine et pirate !

Baracouda pénètre ensuite dans sa loge et voit tout de suite chercher une bouteille de rhum qu'il débouchonne avec amours et apporte le goulot à sa bouche gercé puis avale goulûment ce breuvage qui fait sa force !

Baracouda se dirige vers le ring d'entrainement, il est très tôt et on peut voir que les cheveux du pirate sont ébouriffés. Ed Bundy, le journaliste, suit Baracouda à quelques pas de lui, son caméraman semble soucieux.

Caméraman: Il me fait peur, vous savez ?

Ed Bundy: Tais toi et fait ton job !

The canibal fish se retourne, mais le journaliste et son compère on eu le temps de se cacher. Le pirate poursuit sa route et rentre dans la salle où se trouve le ring, il pose sa serviette sur un banc et monte. Il y a un mannequin à l'intérieur qui sert de cobaye. Baracouda sort son épée et prend la parole.

Baracouda: Donc lui c'est Omar, je commence par lui couper la gorge, ensuite je lui arrache les yeux et je le scalpe ! Ensuite c'est au tour du nouveau champion, El lince. Lui je vais être plus gentil, je vais juste lui couper les doigts .

Pendant que le pirate parlait, il exécutait les mouvements qu'il décrivait sur le pauvre mannequin. Le caméraman et Ed se regardent, l'air inquiet.

Baracouda: Papa... il me faut une victoire... pour toi je l'aurai... je deviendrai de nouveau un grand lutteur je te le promets.

Les deux hommes qui observent le pirate commencent à reculer doucement, manque de bol, quand ils ouvrent la porte, celle-ci grince. The canibal Fish se retourne brusquement, descend de la plateforme et avance rapidement vers les deux journalistes, Ed part en courant mais la caméraman est tétanisé.

Ed: Viens vite !

L'homme lâche se caméra mais ses jambes ne bougent pas, pendant ce temps, le journaliste part en appelant la sécurité.

Baracouda: Aimes-tu ta mère ?

Caméraman: Euh... oui

Baracouda: Alors pourquoi tu veux la rendre triste ?

Caméraman: Euh... pardon ?

Baracouda: Elle ne t'a jamais dit de ne pas espionner ?!

Caméraman: Euh... si elle … me le disa....

Baracouda: ….alors tu fous quoi encore ici, je suis le seas buccaneer et ne viens plus me déranger ! Tu diras à ton petit copain de paquotie que si je vous revoie, je ne serai plus aussi gentil, lundi tu verras comment Omar et Lince vont s'en sortir, si vous continuez de me suivre, vous terminerez comme eux, maintenant, fout le camp !

Le caméraman part de suite oubliant même sa caméra. Le pirate la ramasse et le met au niveau de sa tête.

Baracouda: Quand à toi, Nathan Alexander, tu as grand intérêt à être à la hauteur, ce match, on le gagnera !

On se retrouve dans les couloirs de la WWA avec Ed Bundy et son caméraman .

Caméraman: Tu crois vraiment qu'il faudrait lui parler ? Il a perdu son match tu sais .

Ed Bundy: Tu as peut être raison, mieux vaut partir... il est fou de toute façon.

Les deux journalistes se retournent mais sont surpris de voir devant eux un grand homme équipé d'une épée et d'un grand manteau noir.

Baracouda: Bonjour messieurs... comment allez-vous ?

Les deux hommes se regardent mutuellement se disant sans doute que c'est le jumeau de Baracouda ou quelque chose comme ça.

Ed: Bien... euh... Pou...rais-je vous poser quelque question ?

Baracouda: Avec grand plaisir, c'est fort aimable à vous de vous intéressez à moi comme de la sorte .

Regard encore entre les deux journalistes, qui ne cessent d'être étonnés.

Ed: Déjà, parlons de vous et Omar.

Baracouda: C'est un bon adversaire, certes je me suis peut être légèrement emporté sur lui il y a deux semaines, mais nous dirons que c'était sur le fait de l'énervement.

Grand sourire du pirate, nous pouvons d'ailleurs voir une mâchoire doré et argenté.

Ed: Oui... oui bon sinon, parlons de cette défaite contre le Matricule .

Un petit tic à l'œil de Baracouda se forme, son œil gauche se ferme et se referme irrégulièrement. Baracouda ne semble pas s'en apercevoir.

Baracouda: Ben... c'est une belle victoire... méritée...c'est un bon lutteur... AHHHHHHHHHHH

Ed Bundy recule devant le crie de fou de Baracouda, le caméraman est accroché à son compère et semble effrayé... mais pourquoi a t-il fait ça ? Il ne semble même pas l'avoir remarqué .

Baracouda: Pourquoi reculez-vous ?! Vous avez peur de moi ?! Vous me prenez pour un fou !

Ed: Non non, pourquoi dites vous ça ? prenez une gorgée de rhum ça... ça vous fera du bien .

Baracouda semble avoir repris son calme, le léger tic défigure toujours le visage anéanti du pirate.

Baracouda: Merci, c'est avec grand plaisir !

Baracouda prend sa bouteille et bois une longue, longue gorgée de son précieux rhum …
Le pirate titube déjà, Ed se demandant comment un homme de cette corpulence pourrait être saoul après une longue, longue gorgée .

Ed : Vous allez bien ?

Baracouda: Vous me prenez pour un fou, n'est pas ?

Ed: Non...non... pourquoi?

Baracouda: Tu te tais, tu voulais savoir mes réactions sur ma défaite ?! Les voilà ! Matricule, mon cher Matricule, le filou, le voleur, c'était ma victoire et tu m'as eu avec un roll up alors que j'allais te broyer tes poumons ! Comment as-tu osés, je demande réparation et chez les pirates, c'est un revanche !

Quand à toi Silve... Salvermana... Silverama bref toi... avec le nom de cachalot, tu seras mon prochain adversaire mais pas intéressant pour le moment, tu seras cependant malheureusement confronté à moi ce lundi, pas de chance.

Les deux journalistes se trouvent à l'autre bout du couloir, filmant la scène avant de s'enfuir . Baracouda semble reprendre ses esprits, le tic ayant disparu, le pirate semble perdu et repart vers sa loge .

On retrouve Baracouda, le pirate de la WWA dans un restaurant « Le Crabe aux pinces d'or ». Le pirate semble apprécié le buffet à volonté qui se présente devant lui. Calamars, crevettes, poissons de toutes sortes et... de l'alcool fort .
Baracouda hurle dans le restaurant sa désillusion lors de sa défaite (pour lui s'en est une) contre Silvar.... Silvaro.... bref l'homme sac.

Baracouda: Pourquoi n'ai-je pas gagné contre le clodo ? Pourquoi ça c'est fini par un no-contest ? Cela sonne comme une défaite pour moi ! Mais que m'arrive t-il ?

Le serveur qui se trouve devant lui ne comprend pas ce que l'homme déjà alcoolique à 19h30 raconte, alors il se contente de sourire et de lui servir à boire quand le pirate lui demande .

Baracouda: Toi ! A boire !

Le serveur s'exécute et souri toujours, même si le manque de bonnes manière l'horripile au plus haut poing .

Baracouda: Enlève ton sourire d'imbécile de ton visage d'idiot.

Le serveur enlève son sourire d'imbécile de son visage d'idiot et part voir d'autres clients.

Baracouda: Je ne t'ai pas demandé de partir toi ! C'est une honte ce restaurant, espèce de mal poli, je t'aurai déjà jeté par dessus bord si tu étais de mon équipage !

Le serviteur fait la sourde d'oreille mais semble très contrarié, d'ailleurs celui-ci va en parler à son patron qui se demandait qui faisait un vacarme pareil dans son établissement .

Le patron: Bonjour Monsieur, il y a un problème avec le serveur ?

Baracouda: Il y a même plusieurs problèmes et pas qu'avec votre serveur . La bouffe est dégueulasse, même quand j'étais nourri au pain sec rongé par les vers je prenais plus de plaisir. Et votre serveur est un mal propre, il a osé me tourner le dos !

Le patron: Vous pouvez partir si mon restaurant ne vous plait pas...

Baracouda d'un air outré devant ces paroles, se lève, lance une pistolétade du regard qui dur presque 15 secondes interminable avec le patron et part sans même payer l'addition; le patron le sait... mais ne veut pas s'embrouiller de nouveau avec le pirate. Celui-ci se retrouve d'ailleurs dans la rue, une fine pluie a fait son apparition ce qui énerve encore plus le pirate qui a décidément le sang chaud .

Baracouda: D'abord je ne gagne pas contre un manouche Espagnol, ensuite j'apprends, ou cela me confirme, que le monde est remplis de cons et maintenant ça, il pleut ! Je hais la pluie ! Quelle semaine de me...

… c'est à ce moment qu'un homme arrive en courant, il appartient au staff de la WWA. Celui-ci transmet au pirate un message indiquant qu'il jouera dans la Battle Royal à Avalanche .
L'homme repart comme il est arrivé .

Baracouda: Oui parfait, c'est excellent, voilà ma prochaine victoire; j'ai eu tellement l'habitude lors de mes expéditions en mer de me foutre sur la gueule avec d'autres pirates (mais cela terminait dans un bain de sang) que ce match s'annonce déjà facile ! Quelle semaine magnifique !
Autres catcheurs, craignez mon arrivé sur le ring ce jeudi, autres catcheurs, craignez le réveille du canibal-fish !

Sur cette fin grandiose digne d'un film avec Stalone, Baracouda part sous la pluie vers le grand bâtiment devant lui, surplombé des trois lettres: WWA !