( Le Club privée d'Almarik- Los Angeles- 23:55)

C'est un jeudi soir qui s'achève, les clients habituelles de se club viennent entre amis pour célébrer, sur la musique métal/gothique et techno. C'est l'endroit rêvée pour les criminels. On peut entendre Game of pain de DRC qui retentit dans le stéréos avec des jeux de lumières vraiment excellent. La caméra continue dans le bureau personnelle d'Almarik, on voit se dernier qui est dans son bureau avec Havik, l'un de ses fidèles assassins.

Havik : Patron vous en avez pris cher au dernier Bash ha ha! Et le pire de tout cela, c'était un négro qui s'en ai prit à toi. Mais que recherche-t-il? Il n'avait pas digéré que tu as saboté son match contre cette tarlouze de qui se cache dans la robe de sa mère à chaque fois qu'il aperçoit la rouquine qui craint le silence?

La caméra se tourne vers l'immortel qui était assis dans son bureau.

Almarik : En effet! Il n'a pas apprécié que ses quinze minute de gloire soit à l'eau. Après tout son Directeur est sur le point de jeter la serviette blanche envers la WWA.

Havik : Mais quel chochotte se directeur, je crois qu'il a bien fait de s'évader. J'aurais fait la même chose à sa place, mise à part m'en prendre à vous. Car c'est grâce à vous, si je peux me payer des putes, que je mène la grande vie quoi!

Almarik sourit.

Almarik : Le directeur Mcleland, est mieux d'avoir un contrôle sur son clébard ou sinon je vais sévir et qui sait, il reverra son Matricule 09666 dans un sac mortuaire.

Havik : Dommage que je sois pas dans cette fédération, j'aurais eu du plaisir à faire du bricolage avec son cadavre pour vous prouver que je suis un Léonard de Vinci à l’œuvre.

Le maîtres des ténèbres réunit ses doigts.

Almarik : Nous verrons cela à temps et lieux, pour le moment ma priorité reste James Strike. Ce maudit espagnole à encore échappé à mon Kourou. Tel qu'une coquerelle, qu'il m’agace je vais le finir rapidement...

Havik : Parlant de lui, il semble avoir la tête ailleurs! Comme Yuris l'a eu, mais quel malédiction avez-vous contre vos adversaires?

Almarik s'amuse avec un couteau.

Almarik : James Strike commence sérieusement à m'ennuyer, il semble avoir perdu la passion de combattre quel dommage! Cela gâche mon plaisir et pour tuer cette ennuie.

Il plante le couteau sur la table.

Almarik : Je vais saisir l'occasion d'en finir avec lui et de l'envoyer dans un hôpital le plus proche. Car je me sens généreux.

Le disciple d'Almarik joue avec index.

Havik : Vous devriez choisir l'hôpital de New York, j'ai entendu dire qu'ils ont le satellite et en plus les gardes-malades sont canon là bas grrrr * de manière pervers*.

Le leader du clan Brimstone pose ses deux mains sur le bureau.

Almarik : Puisque tu semble avoir le sens du spectacle, je laisse en charge de mon club. Je dois aller au château donner les directives à mes hommes.

Havik : Aah! Yeah merci patron vous êtes sensass!!

Le maîtres des ténèbres vient d'avoir une vision, il semble avoir compris les motifs de ce prisonnier. Sur un mauvais temps, on le voit au dessus du toit de son château avec la pluie qui tombe et sa cape qui couvre complètement son armure noire.

Almarik: 09666 tu viens de commettre la pire erreur de ta vie, en t'attaquant à moi. Je n'avais aucun problème avec toi au début. Je ne faisais se qui était le meilleur pour moi et c'est d'exterminer James Strike. Toi très cher taulard, tu étais qu'un pion, qui était au mauvais endroit et au mauvais moment.

Je t'assure que je ne suis pas un envoyé de ton directeur Mcleland, qui voudrait s'associer avec un être diabolique et sans cœur comme moi?

Almarik se met à rire un peu.

Almarik : Probablement personne, car ils sont tous les mêmes à vouloir vénérer un dieu, qui n'es même pas présent pour eux, qui se fiche éperdument qui a un désastre dans le monde. Dieu est comme ton très cher Directeur, qui a aucun intérêt pour ton histoire.

On montre à l'écran le maître des ténèbres qui est toujours enveloppé dans sa cape.

Almarik : Malheureusement pour toi, tu n'auras pas la chance d'obtenir rétribution sur Monsieur Cortez. Car il est à moi, il a crée un chapitre avec moi et je vais être celui qui va terminer la fin de l'histoire.

Un sourire sadique s'affiche sur son visage.

Almarik : Tu imagines sûrement la suite.... he he he he he!

Il dévoile un peu son armure noire, en déplaçant sa cape.

Almarik : Je suis celui que tu dois craindre, la définition d'un démon, d'un psychopathe et d'un être mystique me représente bien, mais je ne suis pas un que simple marchandise à amuser les jeunes enfants. Je ne crois pas que des parents, voudrait d'un modèle comme moi. Je détruit, je ruine et martyrise la vie de mes adversaires.

Et cette fiction comme tu imagines tant, dans ton cerveau de paysan, je la porte depuis très longtemps. Elle a comme nom, de la puissance obscure qui était d'une grande aide pour enseigner à ses malheureux humains que ce n'est pas un compte de fée.

Il frotte ses deux mains avec un regard inquiétait, car très bientôt 09666 va vivre un véritable enfer.

Almarik : C'est vraiment dommage pour toi, que ta fin va être triste, mais c'est toi même qui a choisi cette fin. Il n'y a aucun alternatif qui pourra te sauver, ta seule chance de t'en sortir est d'accepter les ténèbres en soi, qui pourrait t'aider à exterminer tout ceux qui ont osé te mépriser, t'humilier, te traiter comme un animal.

Comme tu es quelqu'un qui vit par ses règles, qu'il en soit ainsi! Chéris ce moment comme si c'était ton dernier jour.

La promo se termine sous les rires diabolique du Maître de l'ombre, et l'image devient noire, lorsqu'on remarque son visage pour la dernière fois.