Tragico Comoedia est sur une sorte de scène, derrière un autel. La scène ressemble grandement à une cérémonie des oscars. Pourtant, quelque chose cloche... Peut-être est-ce le faux public en carton qui arbore des sourires si larges et exagérés qu'ils ressemblent davantage à des moues de souffrance.

Toujours est-il que Tragico exhibe ses WWA awards.

- Me voilà couronné,
de plusieurs trophées.

Un à un mes remerciements je ferai,
car sur chaque trophée j'aimerais m'attarder.

Le premier est celui,
du moment OMG de l'année, celui qui vous a le plus surpris.
On me l'a attribué,
pour mon ''heel-turn'' m'a-t'on expliqué.

Par cela si je comprends bien,
vous approuvez ma prise de conscience de la médiocrité,
contre laquelle j'ai décidé de m'élever?
C'est que vous faites du progrès mine de rien!

Votre appui avoir,
pour mon âge d'art,
n'est pas nécessaire,
mais je m'en plaindrai pas c'est bien clair!

Le deuxième prix,
qui me fut remis,
fut celui de l'arrivée,
de l'année.

Me voilà bien flatté,
de voir que vous réalisez,
que je suis ici pour vous sauver de la médiocrité.

Et le troisième prix qui me fut remis,
c'est celui-ci.

Tragico Comoedia montre un trophée qu'il a visiblement fabriqué lui-même. Il est collé avec du ruban adhésif un bout de papier sur lequel on peut lire : Lutteur de l'année.

- Je sais ce que vous allez dire,
que ce n'est pas bien de mentir,
que vous savez,
que c'est Davey Cruz qui l'a gagné.

C'est bien à lui,
qu'on l'a remis,
mais je me suis permis,
de m'approprier ce titre ci,
après la solide correction,
que je lui ai mis à Elevation.

En effet la façon dont j'ai annihilé,
le lutteur de l'année,
ne fait-elle pas de moi,
celui qui devrait avoir ce titre là?

Ce qui m'amène à vous annoncer,
de façon officielle et certifiée,
que nous sommes maintenant arrivés,
au dernier droit avant que l'âge d'art soit instauré.

En effet mon privilège de contender j'ai gardé,
ce qui me donne le droit d'affronter,
le champion de la WWA, Alfred McAvery,
à Road to Retribution, le plus grand ppv de la WWA à ce qu'on me dit.


Alfred tu as beau t'allier,
avec tes ennemis jurés,
vous promettre entre vous que vous n'allez pas vous aggresser,
que vous allez plutôt vous bécoter,
je n'en ai rien à cirer.
Rien ne peut te protéger,
de l'âge d'art qui ne saurait être arrêté,
d'ici le prochain PPV.

C'est à ce moment clé,
que mon règne sera instauré,
quand je te ferai taper,
quand ton titre je te ferai abandonner.

Et alors l'âge d'art commencera...
McAvery prépare toi,
il ne reste plus que 28 jours à ton règne de champion de la WWA...

Dans maintenant une semaine seulement,
se produira un grand évènement.
Un qui amènera,
du jamais vu à la WWA.

Pour la première fois cette fédération sera débarassée,
de la médiocrité.
Celle-là même qui depuis ses débuts l'a gangrenée,
au point où ça m'a dégoûté.

C'est pourquoi j'ai décidé de me lever,
me lever pour dénoncer,
cette aberrante nullité.

Mais si je veux en triompher,
il me faut être au rang le plus élevé.
Pour que l'âge d'art arrive finalement,
je dois me hisser au rang,
de chef de la meute évidemment.

Parlant de meute j'allais oublier,
de parler,
du champion condamné,
Alfred McAvery j'ai nommé.

Je suis désolé de t'oublier si souvent,
c'est que le fait que le championnat je vais gagner me paraît si évident,
et mon projet d'âge d'art est si enthousiasmant,
que tu es loin dans mes priorités sincèrement.

Mais je ne serai pas mesquin,
je vais te souhaiter bonne chance pour ton match de demain,
profites-en bien,
car si c'est un louveteau que tu dois affronter,
il ne te faut pas oublier,
qu'à Retribution, c'est au futur chef de meute que tu va te frotter!

L'histoire est une succession d'époques marquantes, de grands changements, de bouleversements. Ces bouleversements font une marque indélébile dans l'histoire, définissant ce qui adviendra de l'humanité. La naissance d'une cité, d'une civilisation, sa victoire, une grande invention, une catastrophe qui change le monde...

Autant de bouleversements qui changent la face de la planète à jamais...

(Des images s'enchaînent; une comète tombat sous les yeux ébahis de dinosaures, les pyramides égyptiennes, le colisée de Rome, des hordes de barbares descendant sur Rome, le Moyen-Âge, un explorateur aperçevant les côtes d'une terre nommée Amérique pour la première fois, Marie-Antoinette décapitée, une ogive nucléaire explosant sur le Japon...)

Puis Tragico Comoedia apparaît.

-Mais que serait-ce si vous aviez,
l'incroyable opportunité,
d'assiter,
à un de ces moments clés.

Être témoin de CE moment,
lui qui change les hommes définitivement,
de pouvoir saisir cet instant?

Demain, c'est ce qui arrivera.
Quand les épaules rivées sur le matelas,
McAvery ne répondra plus au compte de trois,
ce sera un de ces moments-là.

Car alors l'âge d'art sera arrivée,
par le fait même la WWA venant complètement changer.

Et devant le train de l'histoire qui avance sans frein,
les mots ne sont riens.

McAvery, surtout pas les tiens,
même si tu avoues la peur qui se cache en ton sein.

Pas plus que les paroles de Davey,
qui tente de te remotiver comme un soi-disant ami.

Car tout ce qu'on se rapplera de la date du 27 août de cette année,
sera que c'est la date où l'âge d'art a commencé.
Et je suis désolé de vous l'annoncer,
mais vous, vous serez oubliés.

On entend une mélodie de clavecin aux notes discordantes, créant un profond malaise chez l'auditeur.

Des images de nuages s'étirant rapidement dans le ciel, des nuages sombres, s'étendant dans le ciel de plus en plus rapidement. Au loin une colline, vide, dévastée, et à son sommet, un arbre frêle et maladif, se tenant péniblement au haut de sa colline, dernier témoin d'une époque révolue, d'un âge aujourd'hui éteint.

Puis commencent à apparaître furtivement des images, leurs apparitions s'allongeant de fois en fois. On voit des riches nobles, s'empiffrant dans le banquet, dans une fête débordant d'opulence et de décadence. Les femmes, grasses, sont accoutrées de corset vulgaires et grossiers, tandis que les hommes, à l'apparence de sales porcs, les zieutent sans aucune pudeur.

Ses nobles rient aux éclats, mais d'un rire qui sonne faux. Et soudainement, le clavecin arrête, tous les yeux se tournent, dans un respect effrayé, vers un homme.

Tragico Comoedia.

-L'àge d'art est arrivée,
voilà le temps de célébrer.

Sur ces mots, il verse une coupe de vin sur son masque, le liquide écarlate se répandant sur la surface blanche de son masque comme du sang s'écoulant d'une blessure. Puis il fait éclater la coupe dans son poing fermé, avant d'éclater d'un rire machiavélique.

Et sur ce rire troublant, la fête reprend...

- Vous pauvres plébéiens,
à l'intellect plus faible que le mien,
n'êtes-vous pas remplis de joie,
à l'idée de vivre un âge aussi grand que celui-là?

N'est-ce pas une période merveilleuse,
pour vivre une existence miséreuse,
pendant que votre roi,
en l'occurence moi,
se tient sur son trône sans quelque opposition que ce soit?

Que vous entends-je me dire,
il y a des gens qui contre moi osent se tenir?

Vous voulez sûrement parler,
d'Alfred McAvery et sa bande d'attardés?

Tragico se met la main sur le front en prenant de grands airs.

-Ouhlalala je suis terrifié!
Ô mon Dieu qu'ai-je pour mériter,
de par un tel homme être pourchassé?

Franchement, il ne faut pas exagérer,
vous savez que je ne suis pas du tout effrayé.
Pourquoi serais-je intimidé,
par un nabot incapable de contre moi triompher?

Peut-être parce qu'il a apporté ses petits copains,
pour lui porter un coup de main?
Ne voilà là qu'une preuve supplémentaire,
qu'il avoue que contre moi il ne peut rien faire!

Vous me croyez toujours en difficulté?
Le contraire je vais vous prouver,
quand son géant je vais terrasser,
et au compte de trois ses épaules river.

Et vous pourrez alors,
abandonner tout espoir.
De me vaincre personne n'a le pouvoir,
et pour toujours vos jours seront noirs.

On voit une terre aride, striée de crevasses due à la sécheresse. Parce que c'est une terre morte et desséchée, qui n'a eu pour s'abreuver que le sang de guerriers tombés au combat.

C'est un champ de bataille. Dans l'horizon grisâtre, une silhouette se tient debout. Derrière lui, les corps de ses ennemis tombés au combat, occis de ses mains. On voit les ''corps'' (des mannequins en plastique, mais d'un réalisme étonnnant) de Bob Ivory, Aliou Thiam, Scarecrow.

La silhouette se retourne pour contempler les corps qu'il laisse derrière lui. C'est Tragico Comoedia. Il secoue la tête:

- Dommage qu'il manque celui du vieux renard,
ses ennemis l'aiment bien il faut croire.

Enfin,
ne nous en faisons pas pour rien,
tous paieront dans un jour pas si lointain...

Dire que certains ont osé douter,
quand de mon âge d'art j'ai parlé...

Avez-vous toujours quelque chose à m'opposer,
quand devant vos yeux terrifiés,
de toute opposition j'ai triomphé.

Il ne me reste plus la tâche aisée,
de détruire Alfred McAvery au Destruction qui s'apprête à commencer.

Et j'aurai alors rayé,
toute force capable de contester.

On entend alors le bruit de sabot foulant le sol au galop. Puis on voit à l'horizon la cavalerie qui semble approcher.

- Oh, j'allais oublier,
l'Union pense pouvoir y arriver.

Menés par leur valeureux leader,
à qui j'ai déjà infligé une défaite dans la douleur,
qui contre moi n'a jamais été vainqueur,
ils pensent mettre fin à mon règne de peur.

J'aimerais être encore aussi rêveur,
mais pourquoi rêver quand tout ce qu'on peut désirer nous en sommes possesseur?

Tragico Comoedia lève sa ceinture en éclatant de rire tandis que la caméra filme les ''corps'' de ses ennemis.

On voit une arène de pierre, de style romain, qui n'est pas sans rappeler le Coliseum romain. La foule est survoltée. Puis on entend une voix déclarer:

-Comme le veut la tradition,
Alfred McAvery ayant été anéanti par notre souverain et champion,
il a été jeté sans possibilité de sursis,
dans le puit de l'oubli,
la où vont tous les perdants,
et les incompétents,
pour être oubliés totalement.

La caméra va maintenant vers la loge, où Tragico Comoedia, sa ceinture sur l'épaule, est entouré de femmes en tenue légère qui lui servent des raisins (elles sont peut-être belles, mais pas très brillantes; Tragico Comoedia n'a même pas de trou dans son masque pour manger).

-Je vous l'avais promis,
une fois que mon règne serait ici,
les incompétents et les médiocres lutteurs,
ainsi que tous les ennuyeux emmerdeurs,
serait punis,
d'être inférieur ainsi.

Le premier à avoir payé le prix,
de cette ineptie,
fut Alfred McAvery dit le londonnais,
que par deux fois j'ai défait.

Mais arrêtons d'en parler,
cette attention n'est pas méritée,
et en autant que je suis concerné,
il peut aussi bien être oublié!

Il y a maintenant un nouvel insignifiant,
qui doit être rayé de mon âge si grand.
Un homme qui a parasite toutes les fédérations à travers les ans,
et qui survit depuis bien trop longtemps.

Mais si toute bonne chose à une fin,
les mauvaises choses ont un encore bien pire destin.

Kronos, je ne me contenterai pas de ta carrière terminer,
et de te laisser te faire oublier.

Je vais au contraire m'assurer,
que de ton nom tous vont se rappeler,
car avant de t'annihiler,
je vais m'assurer de t'humilier.

Je vais te terrasser,
te brutaliser,
tes faiblesses révéler,
pour être sûr que les souvenirs que les gens de toi vont garder,
ne sera pas celui d'une légende qui s'est retiré,
mais d'un vieil homme qui n'inspirait rien d'autre que la pitié.

Puis Tragico se retourne vers l'arène où la porte s'ouvre.

-Et le prochain concurrent...

Sur ces mots, Tragico se lève et baisse le pouce. Le message est clair: il ne sera pas épargné.

Pourquoi Kronos est-il un gros nul,
oeuvre de Tragico Comoedia

Il est un homme qui est sans honneur,
mais ça on s'en fout car ça n'a pas de valeur.

Ce qui était vraiment dérangeant,
est qu'on le voit comme un grand,
que sa carrière a duré longtemps,
et pourtant,
comme ça arrive si souvent,
il est dénué de talent.

Il se targuait d'être un fin renard,
des plans machiavéliques d'avoir l'art.
Pourtant, il se retrouve constamment dans le pétrin,
et chaque fois c'est le même refrain,
il est sauvé par son petit copain.

Car certes l'Institute fut une imposante,
qui ont eu quelques réussites <<impressionnantes>>,
mais il ne faut pas se leurrer,
c'est simplement parce que Tragico Comoedia en équipe ne les a jamais affrontés.

Ainsi, lui qui se disait si hardi,
ne pouvait se défendre contre le général d'une armée pourrie,
et il prétendait pouvoir terrasser l'homme qui lui avait rivées les épaules au tapis.

Il est certes amusant,
par son pathétisme quelque peu amusant,
mais soyons francs,
il n'est qu'un cancer attendant traitement.

Pourquoi je suis le meilleur,
Oeuvre de Tragico Comoedia

Les raisons pour lesquelles je suis le meilleur sont Légion,
c'est pourquoi je me limiteraiaux points les plus dignes de mention.

Je suis le plus fort,
les femmes sont folles de mon corps.
Je suis le plus divertissant,
pour ceux qui pour comprendre mon humour sont suffisamment intelligents.

Je suis le plus intelligent,
les autres lutteurs réduits à des rôles de macaques balbutiants.
Je suis le plus talentueux,
ne me bats pas qui veut.

Et le plus important,
je suis invaincu depuis fort longtemps,
et ça se poursuivra je l'entends,
quand Kronos je détruirai aisément.

Alors le vieux croulant,
tu veux parler des histoires qui se sont passées en ton temps,
en citant l'ancien testament?

Parfait, ce jeu je vais jouer,
en te racontant une autre histoire de la Bible tirée:

<< C'est l'histoire de Jésus, fils du Père Tout-Puissant,
qui était descendu sur terre par les pouvoirs de son père épatant.

Selon la volonté du divin,
il était devenu le roi de tous les êtres humains.

Il était aussi un homme très puissant,
par les pouvoirs que son père lui avait légué précédemment.

Bref, il lui devait tout ce qu'il avait,
son pouvoir, son influence, son existence, tout ce qu'il voulait.

Mais un jour il a réalisé,
que de son créateur il pouvait se libérer,
alors au ciel il a monté,
et son Père il a tabassé.>>

Bon, je dois l'avouer,
ce n'est pas exactement comme ça que ça c'est passé.

Mais peu importe ces histoires d'une époque révolue,
car aujourd'hui nous vivons un âge qui nous intéresse beaucoup plus:
cet âge dont je voulais parler,
c'est l'âge d'art vous l'aurez deviné.

Et l'histoire que je t'ai racontée,
n'est pas dénuée de vérité,
ce que je t'ai conté,
est ce qui va arriver.

Oui, je vais te le donner,
ma première chance tu me l'as donnée,
mais ensuite ce qui m'est arrivé,
je l'ai mérité,
par mon talent illimité,
par lequel tu dois l'avouer,
tu as été totalement éclipsé.

Mais à Road Warrior je vais m'assurer,
que tu ne sois pas uniquement éclipsé,
mais bien oublié.

Car dans mon âge d'art tant aimé,
il n'y a pas de place pour les gloires passées.

Peuple ingrat,
vous me décevez là.
Je suis arrivé,
dans cette fédération pour vous sauver,
de cette effarante médiocrité,
de laquelle vous étiez prisonniers.

Un à un les faibles ont tombé,
écrasés par mon indiscutable supériorité.
Même Kronos, que vous avez tant détesté,
mais derrière qui vous vous étiez réfugié,
l'homme le plus expérimenté que vous auriez pu trouvé,
a été occis sans la moindre difficulté.

L'âge d'art je vous ai même amené,
même si vous ne l'aviez pas mérité.

Et comment vous me remerciez?
En me couvrant de huées.

N'allez pas croire que ça m'a affecté,
de votre opinion je n'ai rien à cirer,
c'est comme si vous vous souciez,
de l'opinion des cafards qui habitent les trous miteux où vous vivez.

Mais je ne puis accepter,
que vous pensiez à vous rebeller.
Un roi de ma lignée,
n'a pas à être contesté,
je ne tiens pas mon pouvoir des cieux,
je suis moi-même votre Dieu!

C'est pourquoi vous serez matés.
Contre vous je leverai une armée,
et peuple de la WWA vous devriez vous préparer,
car rien ne pourra l'arrêter.

Je vous l'avais promis que vous seriez mâtés,
que contre vous une armée j'allais lever!

Et bien ma menace est exécutée,
mon armée je vous l'ai présentée!

Premièrement, les deux champions par équipe de la WWA,
deux hommes qui ont des ceintures comme moi,
et qui comme moi ont prouvé,
être capable de tous vous dominer.

Certes, ils ont connu deux revers consécutifs,
mais je suis sûr qu'il n'a pas traversé vos esprits primitifs,
que peut-être cela était-il planifié,
après tout je suis le champion le plus brillant que la WWA ait porté.

Cruz et Julianinho défendront leur titres de champions,
contre quiconque pour entrer dans un ring contre eux sera assez con!
Et vainqueurs ils en ressortiront,
sans la moindre hésitation,
asseyant leur domination.

Pétale Orientale est l'autre membre de mon armée.
Pendant le Crossroad je l'ai remarquée,
s'étant particulièrement illustrée,
par la dureté avec laquelle elle a occis ses ennemis incapacités.

Elle est comme moi,
Tragico Comoedia,
une puissance sans pitié,
pour les faibles auto-apitoyés.

Les faibles comme Baracouda,
que j'ai annihilé sans plus de difficulté que ça,
et qui ose s'appeler champion de surcroît!

Mais Pétale Orientale va s'en occuper,
elle en triomphera sans difficulté,
et alors elle sera couronnée.

Puis moi, une fois que je me serai occupé,
de tous les incapables qui dans le Santa's Lock avec moi seront enfermés,
et que mon titre j'aurai gardé,
alors tous les membres de mon armée,
seront champions attitrés,
et qui pourra alors nous arrêter,
nous et l'âge d'art que nous sommes en train de porter?