What ? L'image de la caméra s'est formé devant un bar pouilleux de NY ou je ne sais quelle ville en réalité. Lou's Tavern... Un bar qui ressemble aux autres, un homme portant une veste de cuir rouge, un jogging et des chaussures de ville arrive à l'extérieur accompagné d'un homme portant une chemise et une cravate. Drôle de duo pour ainsi dire. Il entre dans le bar, et apparemment la caméra semble les suivre. Les lumières à l'intérieur du bar, le barman demande aux deux hommes que la caméra suit, de les suivre, oulah. Du monde arrive derrière, curieux de ce qu'ils vont faire. Il ouvre une porte au sol, se trouvant elle-même dans la réserve, apparemment on ira pas les chercher là. Les deux hommes remercient le barman, et ils descendent, dans un sous-sol où la lumière marchait à peine. Une petite source de lumière... Une odeur de sueur puante, et ca sentait l'odeur des poings contre le torse... Et bordel, y avait du sang sec sur le sol. L'homme à la veste de cuir, qui la retire d'ailleurs, pour rester en T-Shirt, attend que des personnes descendent... Et il était au moins une vingtaine. L'homme à la chemise se glisse dans la foule, et tout les regards se tournent vers l'homme devant eux...

You... All of you... Je vois de simples hommes dans tout ces yeux en face de moi. Je ne vois personne de différent, mais simplement des hommes supérieurs à la moyenne qu'on trouve dehors, qui s'amuse à pourrir la vie des autres pour en avoir une meilleure. You see... On se sert de vous, on vous utilise, et vous balance ensuite, sans pitié. Vous faites des boulots de merdes, histoire de pouvoir un jour vous acheter la voiture de vos rêves. Une fois que vous l'avez, vous ne faites que continuer votre travail, pour acheter encore autre chose, au dessus de la classe que vous venez d'acheter. C'est un échelonnement sans fin, qui se définit par une chose. On est une société de consommation. Mais on en a marre. On a décidé d'arrêter. On veut tout stopper rapidement. Rien ne nous a obligé à le faire à part cette foutue manière de vouloir tout acheter ce qui ne nous servait à rien. Vous avez juste besoin de dormir, de manger, mais on vous oblige à acheter des télévisions, des ordinateurs, des consoles de jeux vidéos, des lecteurs DVD, et ça pour quoi ? Pour vous instruire ? Pour vous détruire. Si Dieu lui même trouverait la vie précieuse, il ne l'ôterait pas à tant de gens... Si elle était si précieuse on ne serrait pas autant à l'avoir.

Le public réagit d'un grand "Ouais !" et l'homme qui venait de tourner autour du groupe se remet devant eux, et regarde tout les hommes en face de lui.

Messieurs. Bienvenue au Fight Club. La première règle du Fight Club, est, il est interdit de parler du Fight Club. La seconde règle du Fight, est, il est, INTERDIT, de parler du Fight Club. La troisième règle du Fight Club, est, si quelqu'un cri "Stop", abandonne ou n'en peut plus, le combat est terminé. La quatrième règle, deux hommes par combat. La cinquième règle, un combat à la fois. La sixième règle, pas de chemises, pas de chaussures. La septième règle, le combat continuera aussi longtemps qu'il le faudra. Et enfin, huitième et dernière règle. Si vous êtes nouveau au Fight Club, il faut vous battre.

L'homme en question désigne un homme dans la foule, un nouveau visage apparemment, il avait l'air tout timide au milieu de cette foule hargneuse. Il s'avance tranquillement, et c'est l'homme à la chemise de tout à l'heure qui va se charger de faire le combat face à lui. Violence. Brutalité. Voilà tout ce qui se passe ici. Vous regardez ces deux hommes en vous demandant à quel point sont-il prêt d'aller, et ils passent pour des combattants de haute classe pendant un moment, et réalise qu'ils se connaitront mieux que n'importe qui après ce combat. La caméra s'éteint, et on rejoint, l'homme en veste en cuir rouge, accompagné de l'homme à la chemise, chemise blanche, désormais taché de sang. Ils boivent une bière à l'extérieur, discutant. La caméra s'approche doucement, et l'homme en veste de cuir s'adresse désormais à la caméra.

Alors ? Vous en pensez quoi ? C'est mon univers, et les gens qui viennent ici, viennent pour se trouver eux-même, et entendre la vérité sur ce monde de merde. Au cas où vous le sauriez pas, j'ai signer un contrat avec cet fédération, que vous regardez actuellement. Je ne connais pas cet fédérations, ni les membres qui la composent, je ne connais même pas les champions, et je serrais sûrement surpris de voir que c'est des gens de petite facture. Après des combats comme ceux vécu dans ce sous-sol, vous n'êtes plus le même, à jamais. C'est grâce à ça que je suis ici aujourd'hui, à vous parler, devant vous. Qui suis-je ? River Jones.

L'homme à côté de lui sourit doucement, puis boit une gorgée de sa bière.

Speak about all you want... Il va y avoir du changement ici, je vais pas me ramener en pouilleux et ouvrir un sous-sol sous le ring, non... Je vous rassure quand même, je suis pas cinglé à ce point. J'ai cru comprendre que un gros évènement approchais pour cet été... C'est drôle. Tout le monde sait que je suis nouveau, personne ne me connait, personne ne sait de quoi je suis capable. Personne ne connait la réel raison de ma venu. Personne ne connait même mon simple fn'name ! Je suis pas exceptionnel, je suis pas quelqu'un de vraiment différent de tout ces lutteurs, un nom oubliable, comme tous. On peut marqué l'histoire mais on peut l'effacé aussi. Un héros ne vit pas éternellement. Je ne suis pas un héros. Mais je peux botter des culs.

River sort une clope et l'allume devant la caméra. Il fume un peu et balance la fumée sur son confrère à côté.

So... Vous vous demandez ce que je peux apporter à la fédération ? Rien. Demandez vous plutôt ce que ce monde vous a apportez. C'est à la fédération de m'apporter quelque chose, pas à moi. Vous n'êtes pas exceptionnel, vous n'êtes pas un flocon de neige oublié. Dieu vous déteste peut-être, et c'est ce qui m'arrive. Cela ne m'empêche pas de vivre au contraire. On est tous voué à une mort certaine n'est-ce pas ? Quel vienne, si je ne crains pas la fin de ma vie, je ne crains personne. C'est peut-être ça, mon principal défaut, mais peut-être aussi ma principal qualité. Vous me regardez et vous vous dites ce que je peux faire. Attendez de me voir, autour de quatre coins, dans un ring, en face de n'importe qui, et là, vous verrez, ce que c'est d'être un homme qui essaye de toucher le fond. Je parle en énigme, mais au fond, tout cela à un sens. See you, later, if you survive... Don't forget... You're not special.

River fume à nouveau jusqu'à finir sa clope, et la balance sur la caméra, qui sous la surprise, se casse la gueule. River baisse la tête devant la caméra, fait un fuck, et écrase le matériel. Ça ce voit que c'est pas lui qui paie, ce petit salaud...

Écran de plus de 2m sur 2m, sachet de Pop-Corn de 500 grammes, canette de Coca-Cola de 33 cl etc... On voit la société tel qu'elle est en allumant sa télévision. Télévision, elle même produit de consommation plus importante que la société de Bill Gates. Tout se rejoint. La salle tombe dans un noir total, et la caméra semble s'afficher sur le titantron, elle nous emmène dans ce même bar lugubre où on avait vu il y a 2 semaines, ce fameux River Jones. Toujours accompagné par la même personne, on ne connait toujours pas son prénom. Cette fois, le sous-sol est vide, et les deux hommes boivent une bière en fumant des cigarettes.

Hey. Beau PPV que Retribution III hein ? Je suis sûr que vous avez commander ce PPV, faisons griller la carte bleue hein... S'attacher au plaisir qu'on a du mal à s'offrir. C'est une hypothèse intéressante. Ca allait bien finir par arrivée hein ? Premier match. Contre un inconnu. Enfin, presque. Je me suis un peu renseigné. Stéréotype totale du mec riche qui se pense intelligent alors qu'il ne connait rien de la misère. Il n'a rien fait pour arriver ici, a part se payer un prof de sport, une secrétaire pour lui trier ses papiers et un chien pour lui lécher les doigts. That's all, mon adversaire, c'est pas le plus grave. On peut penser ce qu'on veut de moi, on saura toujours que mes idées sont fondés sur des réalités, réalités qu'on voit tout le temps, quoi qu'on dise. Il est née dans une petite famille de riche, c'est franchement génial pour lui... On en rêve tous, mais personne ne réalise. On ne réalise pas que ceux qui partent de rien comme moi, arrive toujours à ce qu'il vise, et ceux, de leur propre personne. On nous laisse aucun espoir car on est rien sans nos parents qui sont censés ressemblait à l'image de Dieu qu'on nous enfonce dans le cul chaque jour. Cet homme, que je vais affronter, n'est pas bien différent de touts ces autres. On le dit puissant, intelligent. On se sent souvent supérieur à cause des zéros qui suivent derrière notre compte bancaire. Mais au final, l'intelligence n'est rien de plus qu'éphémère. Je suis pas quelqu'un qui va vous sauvait de ce genre d'hommes, mais au moins, j'essaierai, car c'est exactement le type d'homme qui me donne envie de gerber. Je met mes poings en avant pour pouvoir éliminer ce genre de personne sans qui le pays se porterait sûrement déjà, à un 1 % mieux. On avance peu à peu vers la victoire hein ? Je ne suis pas arrogant. Juste réaliste.

Son partenaire qui se trouve toujours à côté de lui, sort des papiers.

Regarde un peu ce que j'ai trouvé sur lui, des papiers qui parlent de lui pendant son passé pas très fructueux dans les indys, et des cassettes vidéos de ses matchs, et...

Shut the fuck up ! Je suis pas ici pour espionner mon adversaire. Je combat tout les samedis soirs dans ce sous-sol, ca me suffit pour savoir que je suis assez costaud pour pouvoir affronter quelqu'un d'inconnu. S'il y a bien quelque chose que je déteste, c'est les gens qui se renseignent sur les autres de cette manière. Ca ne fait aucun doute de mon côté qu'il a pris son iMac pour regarder une page Wikipédia sur River Jones. Mais on ne parle pas de moi là-bas. J'ai fais bien attention à ce que personne ne puisse me reconnaisse nul part. Je portais un nom différent à chaque match lors de mes matchs indys, et seul un homme qui serait vraiment très déterminé pourrait pouvoir trouver un seul match de moi. Mais c'est certainement pas le cas de mon adversaire, en effet, il a déjà tout eut quand il été enfant certainement, et pourquoi il se casserait le cul à chercher quelque chose, alors que tout lui est tombé dans la main ? Cet fois, c'est ma main qui va lui tomber dessus, et il comprendra sûrement que ca ne sert à rien de me voir ailleurs, car je suis capable du meilleur ailleurs, et du pire sur lui. Je suis pas briseur de nuques, je suis suiveur de destinée, et ma destinée me dit de détruire des hommes comme lui.

River... You know, le Fight Club est un endroit où tu n'as jamais été vaincu en temps que personne, mais tu sais bien que la lutte est un tout autre sport.

It's not about winning or losing idiot ! It's about make a impact... Tout l'impact se désigne autour d'un projet qui pourrait projetter la WWA dans un Chaos total pour eux dans quelques temps. Et ce genre d'adversaire comme lui va devoir payer de sa personne, je ne fais malheureusement pas dans la dentelle, et tu sais bien toi même que je suis capable de tout pour atteindre mon objectif... Et c'est le principal atout que je possède. Je suis l'enfant invoulu de Dieu, et bien tant pis, j'emmerde Dieu, j'emmerde le système, j'emmerde la société qui croit contrôlait tout comme ce mec. Je ne contrôle rien et je me porte très bien. Je ne suis pas riche, et tout va pour le mieux. L'image de l'homme qui veut avoir la voiture de ses rêves, la femme de ses rêves, la maison de ses rêves doit être oublié. Et c'est en supprimant les personnes comme ce rich man, que cela doit commencer. La victoire n'est qu'à une portée de main... N'oublie pas une chose cher bourgeois, tu as beau avoir 20 voitures, 5 maisons à Miami, des putes à ne plus savoir qu'en faire, mais au fond... Never forget... You're not Special.

Son partenaire fait un signe de tête pour dire qu'il est d'accord, et River fini sa bière, en faisant signe à la caméra de s'éteindre, ce qui s'exécute.

La caméra s'allume, un bar lugubre s'affiche. La foule commence à huer. Ce bar, ils le connaissent, c'est celui où traine River Jones, Lou's Tavern. River Jones, si on le hue, c'est pour ce qu'il a fait. Il a battu un nouveau, qui débutait en même temps que lui, en trichant, un peu, enfin, c'est ce que l'on se rappelle en tout cas. Et lors du dernier Bash, il est venu intervenir dans le match de ce même nouveau, Josh Garett, et lui a envoyé un message clair avec son finisher... River Driver. River boit une bière, accoudé au bar, discutant avec le barman, et lorsqu'il voit la caméra, il fait un signe discret, et le barman repars.

Hey what's up ? Arrêtez, j'entends vous sifflets d'ici... Écoutez, je n'ai rien contre vous, et vous ne voulez rien comprendre, ce que j'ai fais à Bash, c'est envoyé un message à ce Rich Man. Je ne suis pas un saint, et je lui aurais bien écrasé ma cigarette dans l'oeil si cette dernière ne coûtait pas aussi chère. Josh, you're not better than me... Je t'ai aidé dans ce match, regarde un peu... T'as gagné mec ! C'était pas aussi que ça avant que j'arrive, t'avais peut-être Kable sur tes épaules, mais je parierais une bonne Guiness, que ce dernier aller t'exploser par la suite... Je t'ai sauvé ! Cependant, c'était pas voulu. Crois pas que je t'aime bien pour autant. Je te prouve que tout ce tu possèdes en plus que moi, ces objets éphémères, la richesse, tout ça, j'en ai rien à secouer. Pour la simple et bonne raison que cela te rend même inférieur à moi. So what ? Tu as 5 zéros en plus à la fin des numéros de ton compte, et pourtant, malgré tout ce que tu as fais pour en arriver là... Tu te fais ridiculiser par un pouilleux comme moi ? On est tous des hommes, et c'est là le message que je délivre. Pourquoi possédez plus, moins, alors qu'on peut avoir autant, puisqu'au final on est tous égaux. Te rendre cupide n'arrange en rien ta vie, et cela la détériore plus que n'importe quoi d'autre. La vie n'est pas un long fleuve tranquille, et tu n'es pas un putain d'oubli de Dieu. Il t'a fait aussi stupide que tu l'es, so what ? Il a fait de moi un vrai connard ambulant qui intervient dans les matchs juste pour des messages de rébellion, so fucking WHAT ?!

Le caméraman recule un peu après ce haussement de la voix de River, tandis que ce dernier boit tranquillement sa bière.

Je suis ce que je suis, la vie m'a construit, et il ne faut jamais croire à l'inverse. Construire sa vie, c'est essayer de se construire, on sait bien qu'on ne se construit pas, tout est superficiel en se construisant à base de magasine de meubles, de fringues, et de toutes ces conneries dont on n'a pas besoin. On a des besoins primaires, mais certains ont oubliés que ca avait rien a voir avec la télévision. Et j'emmerde ce système, j'emmerde la richesse, j'emmerde ce beau monde où tout le monde croit que c'est en achetant une grosse voiture qu'on sera enfin heureux... Que l'accomplissement de toute une vie se fera lorsqu'on se tapera une pouffe dans sa villa au bord de la mer... Fuck rules. J'emmerde les clichés, le stéréotype. Je me suis construit sur ce monde, et cet enfoiré se construit autour de moi comme une vrai maladie...

River se lève de son tabouret, et commence à marcher dans le bar, la caméra le suivant.

Regarde tout ces hommes ici présent dans cette salle. Ils ont besoin d'évacuer, de se changer les idées. Ils ne comprennent pas, personne ne comprend. Tout est construit sur la théorie d'un monde meilleur avec la technologie. Ça facilite, mais sa endurcit guère. Désormais on vit dans un monde de tafiole, rêvant de devenir... Acteur... Comédien... Faire du théâtre... Jouer de la harpe... Devenir transsexuel... Exact. Des hommes PAIENT pour devenir une femme. Dans une société d'hommes élevés par des femmes... Certains ont envie de devenir leur mère... Dites moi que je rêve... Parfois je perds espoir, je me dis qu'il n'y a plus rien à faire pour aider les hommes. Mais je pars d'une racine. Je suis obligé d'attaquer l'animal à la gorge, et c'est en passant à la télévision, à la WWA, que je fais passer mon message. Au cours d'un combat, je le fais passer, car je suis plus déterminé que n'importe qui. Les autres veulent prouver qu'ils sont les plus forts, tous au final, très égoïste. Je ne rêve que de faire passer mon message, et au final, peu importe si je ne suis pas le premier au top 25 de la semaine du meilleur enfoiré avec les poings serrés. Je ne suis pas votre héros, je ne suis pas votre sauveur... Je suis juste un fn'man avec des convictions plus dures qu'un mur.

River sors du bar, cherche dans sa poche son paquet de cigarettes, et en sors une. Il l'a met à sa bouche, et cherche ses allumettes, puis l'allume donc. River aspire légèrement la fumée quelques instants, ce qui laisse un silence pesant dans la salle.

Au prochain Bash, j'aurai donc un match. Encore une fois je dois prouver que mon message est puissant, et que je suis prêt à tout pour le faire passer. Mon premier match, je l'ai gagné, c'est bien, ouais... Mais la victoire, n'est pas importante au final, elle détermine qui est le meilleur des deux hommes, mais pas qu'elle est la meilleure détermination. Un combat se gagne jusqu'au dernier coup. Less Grossman. Producteur de Cinéma, lutteur, et champion. Sacré gaillard à ce qu'on dit. Producteur de Cinéma... On nous promet tous un boulot comme ça, on nous promet d'être des stars de cinéma, des rockstars, et au final, on est rien. On est rien que la merde de ce monde, et pourtant ce monde à besoin de nous. Et tout ceux qui sont au dessus... Ils s'en foutent. Comme ce mec. Je déteste en tout point les gars comme ça. Je déteste leurs façon de parler, d'agir, et de traiter le reste des hommes. You're not damn special ! J'emmerde ta ceinture, j'emmerde tes costards, j'emmerde ton job, tu ce que m'intéresse, c'est te prouver, que tu n'es qu'une enflure, égoïste, qui ne pense qu'à gagner ce foutu match, sans te préoccuper des autres à côté, juste pour te satisfaire, toi, et toi uniquement. Je satisferais le monde en gagnant ce match, mais je le satisferais bien plus, si encore une fois... I... Make... An... Impact. This all you've got. You're not freakin' special, asshole.

River finit sa cigarette devant la caméra, et la dégage de sa main d'une simple pichenette... La caméra se coupe, alors que la foule est mitigée... Once again.